Préparez-vous à plonger bec et ongles dans Chicken Jockey: Tung Tung Sahur Fight, le beat ’em up le plus loufoque depuis que quelqu’un a pensé : “Et si un bébé zombie chevauchait un poulet pour bastonner du memelord ?” Inspiré des classiques du genre comme Final Fight et Streets of Rage, ce jeu vous balance dans des combats latéraux où chaque coup, chaque becquée de violence, est un festival de chaos ambulant.
Le cœur du gameplay, c’est évidemment ce duo improbable : un Chicken Jockey oui, un bébé zombie perché sur un poulet pas du tout effarouché. Leur combo ? Un peu comme un duo de danse endiablé où le poulet fait le gros du travail en esquive et vitesse, tandis que le mini-zombie balance sa panoplie d’attaques directes. C’est rigolo, mais pas que : vous devrez jongler entre mouvements rapides pour éviter les coups (parce que ces icônes Internet zombifiées sont super collantes), et chaînes d’enchaînements pour faire un carnage stylé qui aurait fait pleurer d’envie les héros des années 90. J’ai essayé de maîtriser le système de combos, et je vous garantis que mes doigts semblaient avoir leur propre vie… ou étaient juste en grève.
On ne rigole pas avec l’agencement des ennemis non plus. Chaque niveau est un vrai remix absurde d’influenceurs zombifiés et de memes locaux déglingués qui vous foncent dessus comme une horde d’abonnés en furie. Faut apprendre à lire le rythme de leurs attaques, un peu comme deviner quand Netflix va enfin charger votre épisode après une pause pub interminable. Et puis, la cerise sur le gâteau, c’est le système de upgrades où vous pouvez améliorer la vitesse du poulet ou la résistance du zombiegenre, enfin un buff qui donne vraiment envie et fait la différence, parce que niveau défi, le jeu ne fait pas dans le social !
Ah, et puis l’inventaire, c’est pas juste une liste où ranger du loot en mode “je garde tout comme ça, au cas où”. Non, ici, vos items servent à personnaliser votre gameplay, trash et fun, façon “mixer ton équipement comme DJ aux platines”. D’ailleurs, la gestion de l’équipement est à la fois simple et malicieuse, histoire que même les bourrins du clavier s’y retrouvent. Premier boss dans l’arène ? C’était presque un moment intime entre moi et un tas de frustration, où mon clavier a failli goûter le vide mais tout ça, ça fait partie du charme.
Bref, pour les amateurs de baston nerveuse, de situations WTF et de combats déjantés où vous incarnez littéralement un bébé zombie à dos de poulet, Chicken Jockey: Tung Tung Sahur Fight est le game pas piqué des hannetons qu’il vous faut. Alors, prêt à plumer la concurrence ? GG, les warriors !