Vous voilà plongé dans l’univers de Super Slime, ce petit platformer qui ne fait pas dans la dentelle, malgré sa bouille toute gluante et mignonne. Ici, vous incarnez un héros tout mou, capable de se tendre, rebondir et esquiver comme un cabri sous caféine, parce que oui, la lenteur, c’est pour les snails. Les commandes ? Classiques : WASD ou flèches, et pour les nomades du pouce, un joystick tactile. Simple, efficace, comme un good old Mario des temps modernes... mais en plus glu.
Le cœur du gameplay, c’est clairement ce triptyque stretching-bouncing-dodging. Vous allez étirer votre slime façon chewing-gum sous stéroïdes pour atteindre ces plateformes insaisissables (et pas celles où tu mets juste un pied de travers sinon tu tombes dans le vide, grief garanti). Le rebond, pareil, n’est pas juste là pour faire joli : il faut planer entre précision millimétrée et vitesse folle. Sérieux, est-ce que le slime est dopé au café ? Parce que ça ne rigole pas. Et puis, il y a ces ennemis qui ne sont pas juste là pour faire la figuration. Non, ils bondissent aussi, ils tirent, ils compliquent la vie. Leur esquive ne sera pas une option mais carrément votre mantra.
Ah, et la variété des niveaux ! Je vous garantis que traverser les 100 niveaux, c’est comme essayer de finir les saisons de votre série préférée en un week-end : excitant, mais un peu épuisant. Le challenge, c’est la précision et la rapidité. Croyez-moi, après un ou deux niveaux, vos réflexes auront autant souffert que lors de cette soirée où vous avez binge-watché sans pause. Sérieusement, j’ai tenté de maîtriser le timing parfait du rebond pour éviter un obstacle particulièrement vicieux et, spoiler alert, j’ai fini en purée de slime plusieurs fois. GG à moi.
Du coup, si vous êtes du genre à aimer quand ça bouge, que ça rebondit, que ça vous donne envie de hurler (de joie ou de frustration, on ne juge pas), Super Slime est fait pour vous. Préparez vos doigts, affûtez vos nerfs et surtout, ne laissez pas ce héros gluants vous glisser entre les doigts.