Alors, prêt à chausser vos tabi et à foncer tête baissée dans Run Ninja Run 2 ? Ce petit bijou d'endless runner mêle avec panache la frénésie du ninja qui court tout seul à travers des niveaux semés d’embûches dignes d’un parcours du combattant. Vous, derrière l’écran, devez juste maîtriser votre timing sauter, glisser, et parfois faire un double saut perché histoire d’éviter les pièges mortels et les ennemis pas franchement là pour papoter.
Le truc plutôt cool, c’est que votre ninja n’a pas besoin qu’on lui tienne la main, il avance automatiquement. Vous, c’est un peu comme si vous étiez ce copilote chaotique qui doit sauter pile au bon moment, genre quand le sol décide soudainement de ne plus être là. Sur clavier, on tape sur la barre d’espace ou la flèche haut pour sauter. Double saut ? Oui, ça existe, parce qu’un ninja qui sait faire un seul saut, c’est so 1990. Pour se glisser sous les barrières, un petit slide avec la flèche bas et hop, ninja smooth comme jamais. Sur mobile ou tablette, préparez-vous à taper et swiper comme si votre vie dépendait de ces gestes spoiler : en fait, elle dépend bien de ça.
Le panel des aiguilles du gameplay ne s’arrête pas là. Entre deux acrobaties, vous balancer des shurikens ou sortir la katana pour dégommer ces gêneurs. Mais si l’affrontement direct n’est pas votre truc, ignorer l’ennemi avec élégance, c’est aussi validé. Pendant que vous jouez les funambules du pixel, pensez à ramasser les pièces et tokens, parce qu’acheter des upgrades et skins, c’est un peu la carotte derrière la course sans fin. Les power-ups viennent aussi pimenter l’expérience : bouclier pour encaisser la galère, aimant à pièces (parce que chercher la monnaie comme un gameur fauché, c’est relou), multiplicateurs de score pour briller sur les leaderboards, et boost de vitesse quand vous sentez la chasse à l'adrénaline vous tenter.
À noter que cette aventure ninja appelle la patience et la réactivité : apprendre les patterns des obstacles, ne pas mourir bêtement au premier piège, tout ça fait partie du pack. Après quelques runs à galérer et parfois à s’énerver (je vous jure, j’ai failli balancer mon clavier à la fenêtre lors du premier boss), on se prend au jeu et on continue, histoire de voir jusqu’où ce petit shinobi pourra filer à l’horizon sans se faire planter. Bref, Run Ninja Run 2, c’est un peu comme ce jogging matinal : ça paraît simple, c’est répétitif, mais une fois lancé, irréversible.