Vous voilà coincé dans une chambre d’hôtel qui ferait pâlir d’envie n’importe quel scénariste de film d’angoisse – bienvenue dans La Salle Blanche 4, le jeu d’évasion où votre QI va chauffer plus vite qu’un café laissé trop longtemps sur le feu. Ici, pas de casse-têtes fastidieux qui vous font regretter d’avoir cliqué jouer à 3 heures du matin (enfin, presque).
Le principe est simple : vous êtes enfermé, et la seule façon de voir la lumière du jour, c’est de vous creuser la tête. Avec une interface minimaliste, vous utilisez le clic gauche pour farfouiller, ouvrir, activer et triturer tout ce qui traîne dans cette atrocement immaculée pièce. C’est un peu comme fouiller le bureau de votre coloc sans qu’il s’en aperçoive : il faut trouver LA bonne clé, LA bonne combinaison, LA petite astuce cachée derrière un rideau ou un tiroir. Mais attention, ici, chaque objet compte et un faux mouvement peut vous faire tourner en rond plus longtemps qu’une partie de cache-cache avec un ninja.
Le cœur du jeu, c’est clairement les énigmes complexes. Oubliez les puzzles que vous résolvez les yeux fermés – là, il faudra décoder des mots de passe, manipuler des mécanismes cachés et assembler des indices disséminés avec soin, comme un Sherlock de salon un peu dépassé par les événements. J’ai essayé de maîtriser le système de puzzles, et autant vous dire que mon esprit n’a jamais autant fait de gymnastique cérébrale (j’ai même failli recréer un petit chaos digne d’un épisode de Cauchemar en Cuisine).
Ce qui rend La Salle Blanche 4 aussi addictif, c’est cette sensation que chaque nouvel indice vous rapproche enfin de la sortie, mais que le jeu prend un malin plaisir à vous faire douter. C’est comme si la chambre elle-même se moquait de vous en vous lançant des regards malicieux. Alors, prêt à jouer à cache-cache avec la logique et à prouver que vous êtes le roi (ou la reine) de l’évasion ? Je vous promets que la satisfaction de la victoire est plus douce qu’un café parfaitement dosé – mais évitez de le renverser sur votre clavier en rageant, s’il vous plaît. GG et bonne chance !