Vous pensiez que gérer une apocalypse zombie, c’était juste courir en hurlant et balancer des cocktails Molotov comme dans les films ? Détrompez-vous ! Dans Idle Zombie Wave, vous êtes ce leader un peu (beaucoup) stressé, chargé de piloter une équipe de survivants qui n’a clairement pas signé pour le club des doux rêveurs.
Le cœur du gameplay, c’est un système de tower defense à l'ancienne, mais avec une touche paresseuse, presque zen — oui, parce que parfois, vous pouvez aussi juste regarder les zombies se faire déglinguer pendant que vous sirotez votre café. Enfin, pas trop longtemps non plus, parce que le flux des vagues ne vous laissera jamais vraiment respirer.
Le twist marronnier ? Gérer sa base et ses survivants. Chaque champion a ses petits talents : défense, attaque, ou même diplomatie parce que, avouons-le, se battre c’est bien, discuter avec le dernier râleur c’est souvent plus compliqué. Vous devez optimiser leurs positions, améliorer leurs compétences (oui, il y a un arbre de compétences bien pensé) et surtout décider quand construire ces tours de défense — ces joyeux monuments de la survie hyper stratégiques qui transforment chaque partie en véritable puzzle.
Et puis, il y a ce petit plaisir coupable des ressources à récolter. C’est un peu comme chercher ses clés après la fête, inattendu et frustrant, mais oh combien satisfaisant quand vous posez enfin la main dessus. Preuve que dans ce chaos, l’organisation fait toute la différence. Je me suis surpris à faire des calculs pour optimiser mes upgrades — qui aurait cru que je deviendrais un(e) PDG de forteresse zombie ?
Oh, et attendez la fameuse première vague vraiment intense… Mon clavier a failli finir à travers la pièce tellement j’ai dû jongler entre placement tactique et réflexes de chat sous caféine. Sérieusement, qui a pensé que balancer des zombies en masse sans un nerf serait une bonne idée ? GG, hein.
Au final, Idle Zombie Wave c’est le combo parfait pour les impatients qui aiment la réflexion et le spectacle. Un pied dans la stratégie, l’autre dans la survie, et un œil toujours sur ce scoreboard qui vous nargue. Alors, prêt à sauver le monde, ou au moins votre salon ?