Alors voilà, imagine un monde où tout est en carton, en aquarelle trempée et stickers kitschouille – un vrai bazar artistique qui claque sa mère visuellement. Dans Dragon Castle: Idle TD, t’es pas juste un gars qui joue à la dinette, non mon pote, t’es un dragon costaud qui défend son château contre des vagues d’ennemis plus chauds que ta playlist Spotify en été. Sérieux, c’est un sacré bazar de flammes et de bastons, façon Game of Thrones en mode collage d’enfants, mais sans la prise de tête pour comprendre qui a tué qui.
Bon, au début je t’avoue, je me suis dit Tiens, encore un jeu de défense de tour qui va finir dans les paniers abandonnés. Mais bam ! J’ai été scotché : tu upgrades ton forteresse comme si tu construisais un château Ikea (avec les vis en trop, tu vois le délire). Tu peux booster ton dragon, lui apprendre des talents qui claquent dans le Dragonatory lab (oui, un vrai labo à dragon, avec des cristaux et tout le tralala), histoire de balancer des sorts qui explosent la tronche des ennemis. Et là, pendant que tu tabasses tout avec ton souffle en mode “explosion de barbecue”, tu gères des stats permanentes en dehors de la baston avec de l’or – mode shoppeur du dimanche – et des stats temporaires en plein fight avec de l’argent, genre “je mise tout sur ce coup”.
Ce qui m’a tué, c’est les petites récompenses quotidiennes – t’as l’impression d’avoir gagné au Minitel années 90 à chaque fois – et tout un tas d’events qui te poussent à revenir et à te battre comme si c’était ta dernière soirée devant Netflix. Et les autres joueurs ? Oh, attends-toi à voir des dragons qui nous mettent la honte à tous, tu sais, ces mecs qui jouent depuis 200 heures d’affilée et qui ont le coffre à trésor aussi rempli que ma boîte mail un lundi matin.
En gros, Dragon Castle, c’est ce mélange improbable de j’envoie du lourd et oh ça fait du bien aux yeux. Alors si t’as envie de te la jouer gardien du royaume dans un monde où l’art plastique rencontre le combat épique, t’as vraiment rien à perdre (sauf peut-être ton temps, mais chuuut). Et au final, qui n’a jamais rêvé d’avoir un dragon comme coloc ?