Alors voilà, les zombies ont envahi la planète, et votre mission—si vous l’acceptez—est de devenir le héros improbable qui leur mettra une bonne claque (ou plutôt une rafale bien placée). Dans World Z Defense, oubliez les bénédictions divines : ici, c’est une question de placement stratégique de soldats un peu badass avec un arsenal qui ferait pâlir Rambo. Chaque soldat a ses propres stats—dégâts, cadence de tir, vitesse de rechargement—oui, comme dans un film d’action, mais version geek.
Le twist ? Vos soldats ne sont pas des Superman qui canardent à l’infini : ils doivent recharger à la base. Imaginez-les comme vos potes après une soirée un peu trop arrosée, qui doivent récupérer avant de revenir au combat. Ça ajoute un brin de « je joue à l’échiquier apocalyptique » à votre séance de défoulement. Placer le bon soldat au bon endroit, surtout dans la portée adéquate, c’est la clé. Bien sûr, si vous les laissez pépier devant une horde sans backup, c'est « GG » rapide.
Et les zombies ne viennent pas pour discuter. Les vagues s’enchaînent plus vite qu’une playlist de musique épique. Vous gagnez des pièces (coin coin !) qui vous permettent d’upgrader vos bases. Non, pas en spa ou salle de gym, mais en défense béton pour résister à des hordes toujours plus coriaces. C’est une vraie partie de « J’investis ici, j’économise là » façon apocalypse 🧟♂️💸.
Utilisation ? Simple comme bonjour : un coup de clic gauche pour sélectionner et lâcher vos soldats, et vous pouvez aussi jarter votre doigt sur l’interface pour gérer vos ressources façon maître du terrain. J’ai essayé de maîtriser la mécanique de déploiement dès le début… disons que j’ai causé un embouteillage au point stratégique. (Sérieusement, qui teste ça ?)
Bref, World Z Defense, c’est du tower defense avec du gunfight tactique, où chaque choix compte sous l’œil d’une apocalypse zombi qui ne vous fera pas de cadeaux. Prêt à sauver les villes et vous prendre quelques sueurs froides ? Parce que la première horde débarquant sans préparation, c’est un peu comme faire un speedrun sans sauvegarder. Spoiler : ça finit mal.