Alors voilà, tu débarques dans Vortex.io, un jeu .io où le but est simple : devenir un aspirateur géant ambulant. Oui, tu as bien lu, tu incarnes un vortex un truc qui avale tout sur son passage. Ce qui pourrait ressembler à un simple jeu de mange tout se révèle finalement un véritable marathon de réflexes et de stratégie. C’est un peu comme si Pac-Man avait promis de ne jamais rendre la pilule.
Le cœur du gameplay repose sur le contrôle précis de ton vortex grâce à une mécanique fluide et accessible : souris, flèches, ou WASD, tu choisis ton arme pour te déplacer en temps réel. Simple en apparence, mais détrompe-toi. Il faut être plus rapide que tes adversaires et, surtout, jongler entre délicatesse et agressivité. Avaler des objets pour grossir, ça paraît évident, mais choisir quoi et quand le faire te demande plus de cerveau que ce que ton chat met à comprendre que la boîte de thon est vide.
Plus tu gobes, plus tu deviens massif un vrai beau bébé de vortex. Imagine que ta taille fonctionne comme un leveling up instantané : plus tu es gros, plus tu peux avaler de trucs, y compris d'autres joueurs (Bonjour le drama). Mais attention, devenir la boule de gomme la plus balèze ne se fait pas sans risques. Tu dois te faufiler, esquiver, et parfois même doser l'art du fais semblant d'être petit avant de foncer tête baissée parce que, spoiler, les plus gros te veulent aussi croquer !
Pour moi, la meilleure partie, c’est quand tu tentes une capture épique dans l'arène, genre engloutir une voiture entière ou un pauvre adversaire qui pensait s’en sortir tranquille. Spoiler encore : ce genre de moment est presque aussi satisfaisant que de réussir à aligner trois caféine dumps en pleine journée sans trembler (bon, presque). Mais sérieusement, prendre le contrôle total de la carte en quelques minutes, c’est là que le vrai GG se joue.
Bref, Vortex.io, c’est l’équivalent vidéoludique du gros mangeur de monstre, sache juste que pour survivre et régner, il va falloir être vif, malin, et parfois un peu chanceux. Qui aurait cru qu’être une tornade dévoreuse pouvait autant te filer la pression ? Prêt à avaler le monde ? Allez, je te laisse, j’ai un vortex à entraîner.