Vous voilà dans la peau du gardien d’un musée ultra prestigieux, chargé de défendre coûte que coûte des œuvres d’art qui valent plus que votre collection de cartes Pokémon (et croyez-moi, elle est sacrée). Dans SuStainable, votre job est simple… enfin, presque : traquer des éco-activistes qui ont décidé que la peinture, c’était surfait, et qu’un bon tag bien placé, c’est art. Spoiler : eux, ils appellent ça du vandalisme, comme on appelle nuit blanche une soirée Spotify non-stop.
Le gameplay ? Un vrai petit bijou de tension et d’adrénaline, même si ça sent parfois la galère ! Vous déplacez votre avatar avec WASD comme un pro du clavier (ou un gamer du dimanche, pas de jugement), et quand la situation dégénère attention, mode escarmouche , le clic gauche pour attaquer devient votre meilleure allié. Préparez-vous à des combats tout en tension, où chaque erreur peut vous faire rater ce putain de seau de peinture qui est la clé pour coincer le coupable. Sérieusement, qui a placé un seau aussi facilement déplaçable ?
Mais ne comptez pas que sur vos poings : la vraie force du jeu, c’est le mécanisme d’enquête. Vous devez fouiller chaque recoin des salles d’exposition, à la recherche d’indices aussi subtils qu’une balle de tennis dans une grange. C’est un peu comme chercher sa télécommande dans le canapé, sauf que là, c’est votre palpitant qui fait boum à chaque porte entrouverte. Et ouais, le jeu vous offre même un clic droit pour afficher des indices genre un mode sos détective en galère , histoire de pas perdre toute dignité devant un écran.
Et le summum ? La confrontation finale avec votre suspect : une poignée de secondes pour monter votre meilleur jeu d’interrogatoire, où l’enjeu n’est autre que déjouer leur bluff olympique. Un gros GG si vous arrivez à ne pas passer pour un amateur total (quelque chose que j’ai étonnamment pas réussi du premier coup, surprise). Bref, SuStainable est un cocktail parfait entre action-survie tactile et enquête cérébrale, le tout saupoudré d’une ambiance mignonnement tendue où chaque clic peut changer le cours de l’histoire.