Alors voilà, tu pensais que conduire un bulldozer, c’était juste appuyer sur quelques boutons et pousser de la terre ? Détrompe-toi, Superdozer est là pour te montrer que piloter une machine géante, c’est un art… un art un peu bourru, certes, mais un art quand même. Enfile ta casquette d’opérateur chevronné et prépare-toi à jongler avec la gravité, la boue glissante et ce fichu terrain instable qui veut te faire finir la mission les quatre fers en l’air.
Le cœur de Superdozer, c’est sa physique réaliste qui ne pardonne rien. Chaque virage un peu brusque, chaque saut de pelle est aussi précis qu’un lancer de fléchettes dans un bar un soir de derby. Tu sentiras la vraie résistance sous tes doigts, et ça, c’est loin des manettes en mousse qu’on trouve ailleurs. J’ai essayé de creuser un fossé et, spoiler alert, le dozer a failli faire un tour gratuit digne d’un blockbuster d’action. GG au moteur qui tient bon !
Mais ne t’inquiète pas, le jeu ne se contente pas de te faire vibrer avec sa boue et ses rochers. Tu peux aussi customiser ta bête de chantier. Oui, tu as bien lu, peindre ton bulldozer en ton couleur fétiche, changer les outils parce que parfois, il faut un godet extra ou une pelle qui envoie du bois pour pas galérer. Et crois-moi, l’upgrade de ta machine ce n’est pas du simple “buff” ; c’est carrément un game changer pour dompter ces missions qui te filent des sueurs froides.
Les missions ? Oh, elles sont aussi variées qu’un buffet à volonté. Entre dégager des obstacles improbables (sérieusement, qui a laissé un arbre géant devant le pont ?) et tracer des routes avec la précision d’un architecte stressé, chaque niveau te pousse à penser vite, agir plus vite et planifier comme si ta vie en dépendait (spoiler : ta vie virtuelle en dépend). Première mission en mode “je maîtrise” = clavier prêt à voler à la seconde où ce tas de terre a décidé de te faire un coup bas.
Superdozer, c’est un peu le mix parfait entre “simulation sérieuse” et “challenge où tes nerfs sont mis à rude épreuve”. Alors, prêt à prouver que tu as ce qu'il faut pour être le boss des chantiers ? Allez, je te laisse, j’ai un dozer à dompter et des rochers à faire passer de vie à trépas. Spoiler : c’est pas aussi simple que ça en a l’air.