Alors là, bienvenue dans Parking Frenzy, le jeu qui va faire rager tous ceux qui pensent que garer une voiture, c’est juste appuyer sur un bouton et prier pour que ça passe. Spoiler alert : ici, t’as pas besoin de volant, de pédale ni de GPS dernier cri — juste ton doigt et un sens de la géométrie digne d’un pro du Tetris. C’est comme dessiner un chemin au Louvre, mais avec des bagnoles et sans se faire engueuler par le gardien.
Le cœur du jeu, c’est la magie du contrôle par glissé. Tu traces la trajectoire parfaite du parking jusqu’à la place, un peu comme si tu guidais un gourmand jusqu’à la dernière part de gâteau dans le frigo. Mais attention, faut pas se louper : un tracé un peu foiré, et ta voiture finit en slam dunk dans le poteau ou en mode hamster dans la roue. Sérieusement, qui a pensé que ça serait aussi _sniper_ de précision, hein ? J’ai passé plus de temps à ajuster ma trajectoire qu’à chercher mes clés un matin de grève.
Ajoute à ça les environnements dynamiques qui viennent chatouiller ta concentration — entre les piétons qui décident de jouer à cache-cache et les autres voitures qui semblent vouloir faire la fête sur ta place — et t’as la recette d’un challenge aussi addictif qu’un épisode de ta série préférée. Et puis, le design 3D stylé fait qu’on se croirait presque dans un film d’action, mais pour joueurs qui aiment les défis sans casser leurs manettes (et leurs nerfs).
En gros, si tu as déjà tenté de caler ta voiture entre deux blocs de béton lors d’un créneau, tu vas comprendre le combat intérieur ici. Moi, première tentative sur un niveau un poil relevé ? Clavier prêt à faire un suicide collectif, mais finalement j’ai kiffé cette sensation « allez, encore un essai et c’est la bonne ». Parking Frenzy, c’est facile à prendre en main (et dur à lâcher) — un peu comme ce snack que tu voulais juste goûter et qui s’est transformé en festin.