Ah, Nuts & Bolts: Screw Glass, ce petit bijou où la mécanique rime avec casse-tête à en faire chauffer les neurones et frétiller les souris. Imaginez un monde tout droit sorti d’un rêve d’ingénieur tordu, où chaque vis cherche désespérément sa boîte de couleur attitrée. Simple, me direz-vous ? Eh bien pas quand la moindre maladresse transforme votre tentative en une pluie de vis déchaînées descendant dans un groove infernal. Spoiler alert : une fois ce fameux groove rempli, c’est le game over, pas de mercy ici.
Le cœur du jeu repose sur ce système finement huilé où la correspondance des vis aux boîtes colorées n’est pas juste une formalité, c’est un vrai défi stratégique. Chaque mouvement doit être pensé comme un coup d'échecs – sauf que là, les “pions” sont des vis susceptibles de tomber dans un puits sans fond. Sérieusement, qui aurait cru que le simple fait de cliquer pouvait être aussi stressant ? Je vous jure, la première fois que j’ai fait tomber une vis dans le groove, j’ai failli lancer ma souris par la fenêtre. Bon, j’exagère, mais presque.
Et best of all, outre son gameplay malin, le contrôle est un modèle d’accessibilité : toute l’action se pilote au clic gauche de la souris. Oui, un seul bouton ! Essayez de compliquer ça, vous serez poliment dégommé. Cette simplification fait que plonger dans le puzzle ne vous demande pas un mode d’emploi bourré de jargon techno, mais bel et bien votre bon vieux clic souris 101. Je me suis même surpris à essayer différentes tactiques – en mode “testeur fou” – et souvent, le groove se remplissait plus vite que mon stock de café un lundi matin.
En résumé, si vous cherchez un jeu où chaque coup peut vous faire pester tout en vous donnant un sentiment d’accomplissement digne d’un maître bricoleur, Nuts & Bolts: Screw Glass est pile ce qu’il vous faut. Entre mécanique huilée et défi constant, il remue les méninges et le stress. Qui aurait cru qu’assembler de simples vis pourrait devenir une aventure aussi tendue ? Allez, je vous laisse, j’ai une boîte de vis à trier avant qu’elles ne prennent le contrôle. GG !