Alors, on va parler de Hobo 4, ce petit bijou flash qui cartonne dans la série à la réputation bien crasseuse (et j’adore ça). Tu combines action, plateforme à la sauce beat 'em up et tu obtiens un cocktail explosif où l’humour et le fun s’invitent dans chaque pixel. Franchement, c’est pas juste un jeu, c’est presque une sitcom digitale avec des poings, tu vois le genre ?
Le pitch ? Notre pote Hobo, le clochard le plus badass du coin, se retrouve encore une fois en guerre ouverte contre... roulement de tambour... un gouvernement carrément mauvais (Merci Captain Obvious). Sauf que là, ils ont sorti la grosse artillerie : des robots trop balèzes et des mutants pas frais du tout ! J’ai eu comme un frisson la première fois que j’ai vu ces packs de méchants, surtout quand j’ai failli me faire éclater d’une combo façon queue de pelle. Au départ, je pensais que ça allait juste être un bête défouloir, mais en fait, y a tout un complot à démêler, une vraie ambiance Men in Black croisé avec un Cartoon Network déjanté.
Le gameplay ? Simple, efficace, pas prise de tête : flèches pour courir, sauter, esquiver, et des combinaisons pour bastonner façon ninja de rue. Sans oublier le fameux repertoire de coups spéciaux du Hobo, un délire complet qui pimente les phases de combat. Moi, perso, j’ai souvent fini en mode combo machine à enchainer les coups cools, parfois avec un pote en vocal, histoire de délirer un peu – c’est clairement un jeu où le teamplay et la bonne humeur prennent tout leur sens, même si on ne peut pas vraiment faire du multi. Ou alors je rêve, hein, je crois que c’est solo à fond ? Peu importe, les niveaux sont assez longs pour te faire oublier ça, avec des boss bien retords qui demandent timing et patience. J’ai dégommé un mutant-tank en rage qui m’a presque fait jeter la manette (oui, j’ai ce genre d’attitude).
Graphiquement, c’est décalé et délirant, un peu comme un dessin animé passé à la machine à café. Ça te décroche un sourire même dans les moments tendus, avec des animations exagérées et un style comique à faire pâlir un épisode de Rick & Morty. Les power-ups et points d’expérience ne sont pas là juste pour faire joli, ils boostent vraiment tes skills, et ça, ça motive à tester toutes les tactiques possibles – oui, même la roulade au dernier moment, ce vieux classique qui te sauve la peau.
En gros, Hobo 4, c’est un mélange entre l’adrénaline d’un Streets of Rage et la nounou rigolote qu’on n’attendait pas. Au début je pensais juste allez un jeu flash de plus, mais maintenant j’suis convaincu : c’est un must pour ceux qui veulent se marrer tout en casquant dans de l’action nerveuse. Prêt à bastonner du robot et à sauver le monde, une pichenette à la fois ? Allez, fonce, c’est pas le moment de faire ta nouille !