Bienvenue à Horror School : Detective Story, où l’ambiance est aussi lourde qu’une sauce béchamel trop cuite… et les mystères aussi tordus que l’emploi du temps de ce collège hanté. Ici, votre job, si vous l’acceptez (et vous n’avez pas vraiment le choix), c’est d’incarner ce détective un peu casse-cou, chargé de démêler une toile d’énigmes qui vous donne plus de fil à retordre que votre dernier puzzle Ikea. Spoiler : l’horreur, c’est pas juste dans le décor, c’est dans votre tête.
Le vrai cœur du jeu, c’est son gameplay d’enquête aussi acéré qu’une lame de scalpel. Vous allez fouiller chaque recoin de cette école maudite, à la recherche d’indices, de petits détails cachés (genre la gomme sanglante sur un bureau, normal). C’est un peu comme quand vous cherchez vos clés dans un sac à main : frustrant, mais terriblement addictif. Vous choisissez le niveau de difficulté pour pimenter votre session parce que oui, on peut être détective ET maso.
Ah, et parlons du système d’interactions : chaque objet, personnage ou recoin est potentiellement une pièce du puzzle. Attention, fouiller ou discuter ne se fait pas au doigt mouillé, il faut réfléchir, assembler, recouper... J’ai essayé de gérer ça sans noter, ça ressemblait plus à un résumé de mes listes de courses qu’à une vraie enquête. Sérieusement, qui a pensé que parler au concierge louche pourrait débloquer un secret digne d’Agatha Christie ?
Le clou du spectacle ? Les scènes de suspense qui vous font sursauter à chaque couloir sombre. Une mécanique efficace, qui vous plonge dans une tension palpable, style premier jour sans café et devoir affronter le prof de maths. Vous sentez que votre cœur va bondir ? Parfait, c’est fait pour. Et la cerise sur le gâteau : la gestion pointue des choix dans l’enquête. Genre, décidez mal, et c’est le GG assuré, ambiance pauvre détective, tu t’es planté.
Alors, prêt à enfiler votre trench-coat, prendre votre loupe et affronter ce lycée où le quiz de maths est un jeu d’enfant comparé aux énigmes ? Croyez-moi, une fois dedans, vous serez accro, entre frissons et déductions. Allez, courage, et surtout… ne tournez pas le dos au fantôme. Enfin, sauf si vous voulez un game over avant même le premier chapitre.