Alors, préparez-vous pour un marathon de cache-cache pas comme les autres avec Hide and Luig, ce jeu point-and-click où votre mission (et vous l’acceptez, hein?) est de retrouver ce bon vieux Luig, champion toutes catégories de la planque insolite. Sérieusement, ce type a un doctorat en se cacher dans des objets bizarresje vous jure, j’ai cru que j’aurais besoin d’une loupe pour le dénicher dans sa dernière planque.
Le cœur du gameplay repose sur un exploration douce et pas prise de tête, où cliquer sur tout ce qui bouge (ou pas) est votre meilleur allié. C’est un peu comme quand vous fouillez ce bazar sur votre bureau à la recherche de vos clés, sauf que là, chaque clic peut révéler un petit secret rigolo ou une scène qui fait tilt. Et attention, chaque endroit est plus farfelu que le précédent vous risquez de soupirer Mais c’est quoi ce délire ? plus d’une fois, promis.
Le truc spécial, c’est que Luig ne se contente pas de se planquer sous un tapis ou derrière un meuble. Non non, il carbure à la créativité débridée : attendez-vous à le retrouver coincé dans une tasse, transformé en bibelot, ou même planqué dans des trucs que vous n’auriez jamais même imaginés. C’est un vrai ninja du bizarre! Du coup, vous jonglez entre logique tordue et intuition un cocktail parfait pour les amateurs de WTF et de petits moments de Aaah ok, j’y étais presque!.
Franchement, le système de recherche est assez zen, pas besoin d’être un crack du clic frénétique. On dirait une belle balade absurde où chaque découverte déclenche un sourire ou un Mais... pourquoi ?. C’est comme si le jeu vous faisait un petit clin d’œil à chaque faux espoir et trouvé-pas-trouvé, et vous voilà prêt à reposer votre cerveau en mode chasse aux oeufs sur stéroïdes.
En gros : si vous avez toujours rêvé de jouer à cache-cache avec un idiot maladroit qui choisit les plans les plus tordus pour disparaître, c’est votre heure de gloire. Moi, j’ai essayé de suivre le truc, et au moins une fois, j’ai failli jeter ma souris par la fenêtre (sans blague). Mais bon, chaque fois que je le trouvais, c’était comme un mini triomphe ridicule. GG Luig, tu m’auras bien eu.