Alors voilà, Color Dodge c’est un peu le petit cocktail dynamite pour les amateurs de réflexes en mode tu vas mourir combien de fois avant de tenir 30 secondes ? Sérieusement, ce jeu, c’est une question de timing et d’œil de lynx faut faire matcher la couleur de ta boule avec les obstacles qui défilent. Simple en théorie, un vrai casse-tête en pratique, surtout quand les couleurs arrivent à la vitesse d’un spoiler Netflix.
Le cœur du gameplay, c’est ce fameux rolling road : une route qui roule (tu t’en serais douté), où tu dois naviguer entre des murs colorés. Le but ? Éclater uniquement ceux qui partagent la même couleur que ta boule. Si tu touches un mur d’une autre teinte, c’est GG, fin de la partie, et probablement un petit cri de rage involontaire. J’ai tenté d’expliquer ça à ma main après trois morts en moins d’une minute spoiler : elle était pas convaincue.
Évidemment, le rythme s’accélère et te voilà à jongler entre plusieurs files, dodgeant littéralement les obstacles comme un ninja du pixel. C’est un peu comme traverser un carrefour parisien aux heures de pointe, sauf qu’au lieu d’éviter les scooters, tu évites des murs qui veulent ta peau. Bonus points si tu réussis à attraper tous ces petits gems et pick-ups qui traînent, histoire de faire grimper ton score et flatter ton égo.
Et entre nous, les effets sonores bien punchy ajoutent ce petit je ne sais quoi qui te fait revenir encore et encore, même après t’être pris la tête contre un mur oh, ironie du jeu. Je me suis surprise à hocher la tête en rythme, comme si j’étais dans un concert privé… Enfin, jusqu’à ce que la difficulté me rappelle à l’ordre. Ah, ces levels qui montent crescendo, c’est du sadisme bien calibré, mais on adore ça, non ?
Alors, prêts à faire rouler la boule et tester vos nerfs ? Perso, j’ai commencé, et je ne sais toujours pas combien de temps je tiendrai. Et vous, c’est quoi votre record avant de péter un câble ?