Prépare-toi à plonger bec premier dans le délire sonore de Chicken Scream Race, un jeu qui transforme le simple cri de poulet en véritable arme de plateforme. Ici, pas de joystick pour courir, sauter ou éviter les pièges : c’est ta gorge qui fait le job ! Oui, tu as bien lu. Ce jeu te demande de pousser la chansonnette, ou plutôt le cacardement, pour donner vie à ton volatile et le faire avancer — doucement en chuchotant, ou à fond les ballons en hurlant comme si t’étais la star d’un karaoké raté.
Alors, comment ça marche exactement ? En mode tapotement, tu peux toujours jouer comme un humain normal avec les classiques W, espace ou flèches directionnelles. Mais là où ça devient vraiment croustillant, c’est en mode voix. Chaque cri déclenche un bond ou un sprint de ton poulet – imagine que tu es en train d’emmener un canard en laisse qui a décidé de faire la course avec une Formule 1. Super précis, mais totalement imprévisible. Grouin, cacardement, ou rapporter la basse voix pour un dosage parfait ? C’est un combo de bruits qui s’apparente à un remix dubstep made in élevage de basse-cour.
En mode deux joueurs, la fête sonore continue : les volailles avancent en mode tour par tour, ce qui mène à des moments aussi surréalistes que hilarants où tu te retrouves à gueuler à en perdre la voix juste pour ne pas laisser ton pote gagner. Le principe est simple mais efficace — et à chaque fois que tu penses maîtriser la bête, le jeu te rappelle que parfois, ta voix n’est ni un contrôleur, ni même un allié, mais plutôt une vraie diva capricieuse.
Je me suis essayé à ce festival des décibels, et laisse-moi te dire que mes voisins n’ont jamais autant entendu de poulets hurlants… ni moi autant ri. Sérieusement, qui a testé ça ? Le premier boss ? Ami, prépare-toi, car ta voix doit être calibrée comme un sniper. Un ton trop bas, et ton poulet reste aussi statique que moi devant un bug chelou ; trop fort, et il s’envole dans le décor comme une fusée sans frein. Bref, Chicken Scream Race ne demande pas juste des compétences de joueur… mais de chanteur ou de toréador sonore, c’est selon.