Vous voilà propulsé dans Get To The Chopper, un FPS 3D où la survie, c’est pas juste un concept, c’est une course effrénée vers l’hélico de secours. Le but ? Simple comme bonjour : éclater tout ce qui bouge et atteindre le point d’extraction avant de finir en kebab grillé. Spoiler alert : c’est moins évident que ça en a l’air.
Le vrai kif, c’est le système d’armement personnalisable à la sauce commando. Vous avez votre arme principale pour faire du carnage sérieux, un flingue secondaire pour les situations « oops, j’ai plus de balles », des grenades pour tout faire péter (parce que, bon, qui n’aime pas sentir la chaleur d’une explosion imminente), et un arme de mêlée au cas où t’en avais marre de la distance. C’est un peu comme rêver sa blindée, version FPS – attention, les combinaisons les plus cheloues sont possibles, et certaines sont carrément OP (j’attends toujours une petite baisse de nerfs sur le lance-roquettes, hein).
Les environnements ? Un mélange de forêt dense, désert de poussière et un vrai parcours du combattant qui change selon la map. Avancer dans ces décors croustillants, c’est un peu chercher ses lunettes au matin – tu crois que c’est simple, et puis bam, un ennemi surgit de nulle part. Le challenge, c’est le micro-management de votre chargement ; choisir la bonne arme pour la bonne map, parce que venir avec un sniper dans un canyon étroit, c’est comme partir en randonnée avec des tongues. Sérieusement, qui teste ces configs ?
Ah, et parlons du combat ! Il faudra switcher entre tir, grenade, et baston au corps-à-corps aussi vite que vous changez de chaîne quand la pub débarque. J’ai passé plus de temps à esquiver les balles qu’à viser correctement (coucou le chrono du stress), et c’est là que le fun devient intense. Combattre des vagues d’ennemis en mode survival made in Get To The Chopper, c’est un peu comme faire du rubik’s cube pendant un passage à niveau – un défi qui pique les nerfs… mais qu’on veut relever quand même.
Alors, prêt à tester votre talent de tireur d'élite en mode « tout ou rien » ? Parce qu’ici, chaque mission, c’est un sprint vers la machine volante qui va vous sauver la peau. Pour sûr, attention au doigt qui glisse et à la panique qui monte. GG à ceux qui arrivent entiers à l’hélico, les autres, on se retrouve pour une revanche !