Alors voilà, t’as déjà essayé de jouer au casse-tête qui te fait triturer tes neurones sans te prendre la tête ? Space Pin Master, c’est exactement ça, mais en mode spatial, avec une bonne dose de fun gravitationnel. Oui, tu as bien lu : tu vas devoir tirer des pins (ces petites fichues épingles) au bon moment pour libérer des boules colorées dans notre bon vieux vaisseau. Simple comme bonjour, mais diablement addictif.
Au début, je pensais que j’allais juste passer le temps, genre tiens, un petit jeu pour éviter de bosser. Et bam ! Je me suis retrouvé à pestouiller comme un pro contre des bombes vicieuses et des obstacles tordus qui veulent à tout prix m’empêcher de remplir le vaisseau. Sérieusement, c’est comme essayer de ranger ta chambre un dimanche : chaque boule a sa place, mais faut pas que tout parte en vrille !
Le principe est clair : tu cliques ou tapes pour retirer la bonne épingle, histoire de récupérer toutes les boules colorées sans exploser le vaisseau (adieu la gravité toute tranquille). Une mécanique ultra simple, mais dont la simplicité est hyper trompeuse. C’est le genre d’énigme où tu te dis Allez, ça va me prendre deux minutes et trois heures plus tard, tu galères encore à triompher des derniers niveaux.
Et puis, y’a pas que ça : des tonnes de coins à gagner te permettent de débloquer de nouveaux vaisseaux, des boules toutes plus funky les unes que les autres, et même de changer de thèmes (parce qu’on aime bien la couleur dans l’espace, hein). Tu vas devenir le roi (ou la reine) du tirage d’épingles, façon Jedi du casse-tête intergalactique.
Je te garantis, c’est frais, ça détend et ça remet tes neurones en mode on. Franchement, qui aurait cru que tirer des pins pouvait être aussi satisfaisant ? C’est presque aussi cool que de plier tes chaussettes du premier coup (mais en mieux). Alors, prêt à devenir le maître incontesté du pull pin dans l’espace ? Allez, ne me dis pas que ça ne t’est jamais arrivé de rêver à un boulot où tu peux juste tirer des épingles sans que ton boss te regarde bizarrement, hein ?