Alors voilà, vous voilà catapulté dans l’univers de Secrets of the Galaxy, un match-3 qui ferait pâlir d’envie toutes les soirées Netflix à scroller sans but. Vous incarnez Inessa, pilote un brin paumée, accompagnée de A.S.K.A., son robot fidèle (mais pas trop bavard). Leur vaisseau ? Complètement en panne, coincés dans le vide intersidéral oui, le classique du genre. Votre mission, si vous l’acceptez, c’est de jongler avec des tuiles galactiques en trois couleurs pour réparer tout ça et rentrer à la maison. Facile, non ? Spoiler : ça l’est pas tant que ça.
Le cœur du gameplay, c’est ce bon vieux système de match-3, mais pas question de faire ça à l’arrache. Ici, chaque combo compte, et croyez-moi, réussir à aligner ces briques chimiques pour déclencher un combo puissant, c’est un peu comme débloquer la porte secrète dans un vieux donjon pixelisé. Entre les astéroïdes qui tombent comme une pluie de notifications agaçantes, les lasers qui débarquent sans prévenir, et les distorsions spatiales qui font bon ménage avec la gravité capricieuse, il faudra jongler finement. Planification et timing sont vos meilleurs alliés, surtout quand le chrono vous fait des clin d'œil moqueurs.
Ah, et parlons un peu des portes-porte-mystères ces fameux portails qui téléportent vos bonus là où vous en avez le plus besoin, ou là où vous en avez le plus envie (mais pas toujours là où vous devriez, donc faites gaffe). Chaque niveau propose des objectifs différents qui ne sont pas juste là pour embêter, mais pour pimenter l’expérience. Temps limité, nombre de mouvements restreints… vous verrez vite votre cerveau bouillir en tentant de fixer la meilleure stratégie. Sérieusement, qui a pensé que faire un combo avec un astéroïde en pleine tempête spatiale serait zen ?
Du coup, vous voilà lancé dans ce shoot’meets-match, où chaque mouvement peut déclencher la folie. Premier vrai niveau avec les lasers ? J’ai failli envoyer mon clavier dans l’espace - rude réveil. Mais une fois la mécanique digérée, on se surprend à vouloir encore et encore refaire un niveau juste pour voir si on peut faire mieux. Bref, ce n’est pas qu’un puzzle, c’est une odyssée où chaque pixel compte, et où votre reflexes et votre sens du détail risquent de prendre des années-lumière d’entraînement.