Alors voilà, Capybara Suika, c’est un petit bijou tout mignon qui va vous faire fondre... enfin, surtout si vous aimez les capybaras, ces grosses boules de douceur poilue qui ont l’air de toujours se demander pourquoi la vie est si compliquée.
Le gameplay, parlons-en ! Ici, oubliez les combos millimétrés à la Street Fighter ou les loot boxes à gogo. On est dans le puzzle food merge, comprenez : vous lâchez des morceaux de bouffe (oui, de la vraie bouffe qui fusionne comme par magie) pour créer des plats plus gros et plus copieux. C’est un peu comme jouer à Tetris avec votre assiette, sauf que votre objectif, c’est de faire grossir tout ce bazar gourmand. On dirait simple, mais croyez-moi, synchroniser ses cliques pour que ça se mette pile poil où vous voulez, c’est un petit casse-tête. (Et non, je n’ai pas réussi du premier coup. Dormez tranquille.)
Le jeu est aussi léger qu’un nuage de mousse au chocolat : les graphismes colorés et le calme ambiant rendent l’expérience aussi relaxante qu’un bon café en terrasse. Vous glissez votre souris ou effleurez l’écran, et bam, vous regardez votre cession fusionner en toute douceur. Si les jeux font trop souvent chauffer vos neurones ou votre PC, celui-là, c’est l'antidote parfait. Petit bonus : le jeu n’occupe quasiment pas d’espace, parfait pour les pauses café et les transports bondés où vous n’avez pas envie de trop réfléchir.
Et parce que c’est un jeu qui parle directement à votre côté zen (et un peu gourmand, on ne vous juge pas), vous prenez plaisir à voir vos petites capybaras se la couler douce pendant que vous faites glisser ces morceaux de nourriture, histoire de voir jusqu’où vous pouvez pousser le délire. Sérieusement, qui aurait cru que fusionner des aliments pouvait être aussi zen et addictif ? Vous en voulez encore ?
En résumé, si vous cherchez un jeu casual qui ne vous demande pas de posséder les réflexes d’un ninja, où vous pouvez jouer à la cool sans prise de tête, Capybara Suika est la petite pause parfaite. Allez, avouez, vous avez déjà envie de lancer une partie – alors, on fusionne quoi aujourd’hui ?