Alors voilà, vous incarnez Tony Archer, un gars qui a visiblement fait exploser le moule du héros standard. Ce mec-là transforme n’importe quoi en arme mortelle – oui, même un simple bâton deviendrait OP entre ses mains. Et si vous pensiez que bourriner allait suffire, détrompez-vous : la furtivité est aussi au menu. Parce qu’éliminer tous les vilains à vue, c’est pour les amateurs. Ici, on se faufile, on surprend, et on fait tomber les ennemis un par un. Un vrai ballet de ninja new school, avec un Tony en guest star. Vraiment, Tony Archer, c’est le genre de gars à vous faire regretter vos petites manettes tricotées pour jouer au foot.
Le terrain de jeu ? Juste les toits de la ville, des laboratoires secrets (où les trucs bizarres sont probablement nés – suivez mon regard) et des complexes militaires adaptés à votre escalade acrobatique. Vous avez le choix, donc, entre surfer sur les gouttières ou jouer à cache-cache avec des gros bras surarmés. Le système de combat est assez simple : bougez avec votre clavier ou votre doigt si vous êtes en mobile, et tondez les ennemis en mode automatique (pratique, on peut donc passer plus de temps à élaborer sa stratégie en tête). Et comme un bonus de génie, vous pouvez interagir avec l’environnement – balancez un baril explosif, poussez une caisse, ou transformez un lustre en guillotine improvisée. Qui a dit que la créativité n’était pas une arme ? (Spoiler : pas Tony.)
Parlons un peu du sauvetage de vos potes, parce que c’est bien beau de jouer au justicier, mais là on parle d’émotions. Le mécanisme de libération est aussi relax que de faire tourner un barbecue un dimanche : vous vous posez devant la cage, attendez que ça s’ouvre, et hop, ami sauvé. Bon, facile en théorie... sauf quand une bande de méchants vous fonce dessus à cet instant précis. Qui a pensé que ces cages allaient rester ouvertes, hein ?
Perso, la première fois que j’ai essayé de finir un niveau en évitant les alarmes, j’ai failli quitter le jeu tellement j’avais l’impression d’être dans un mauvais film d’action. Mais Tony Archer, c’est aussi ça : un sacré pied de nez aux classiques, un peu de swag militaire, de l’improvisation façon MacGyver et un soupçon de chaos organisé. Prêt à te la jouer héros de l’ombre… ou juste à rager un bon coup en essayant de ne pas finir en cage toi-même ? GG, comme on dit.