Alors voilà, vous vous réveillez—bam!—enlevé par des extraterrestres qui, apparemment, ont raté le cours comment accueillir des visiteurs et pensent que pour sortir de là, vous devez prouver que vous êtes un génie (spoiler : je suis encore en train d’essayer de comprendre pourquoi une pile de boutons vaut mieux qu’un CV). Bienvenue dans Test d’intelligence extraterrestre, le jeu où votre seule arme, c’est un joystick... non, oubliez, juste votre fidèle souris ou votre touchpad, pas de joyeux combo de clavier dans le coin. Oui, on joue old school, avec du clic, du gliss, et beaucoup de crâneuries.
Le cœur du jeu ? Le puzzle mécanique. Imaginez un mélange entre un distributeur de bonbons foireux, un tableau de contrôle de fusée, et votre vieux jouet casse-tête – bref, vous cliquez partout, actionnez des leviers, poussez des boutons et tentez de capter le message caché dans ce chaos organisé. Sérieusement, parfois ça ressemble à des épisodes de Qui veut trier les câbles ?, sauf qu'ici, votre survie dépend de votre flair pour comprendre des patterns logiques bizarres venus de l’espace. Ce n’est pas juste de la rigolade, chaque niveau pose un défi qui vous fait dire Tiens, c’est comme ce Rubik’s Cube que j’abandonnais au bout de cinq minutes.
Et il faut que je vous avoue, au début, j’ai cru que c’était du simple point-and-click, un truc relax. Oh, que nenni. La prise en main est un tour de montagnes russes cérébrales, entre je clique ce levier et ça fait what? et oh, un bouton rouge ! Pas toucher !. La tension monte, on cherche le bon ordre d’interactions, un peu comme jouer à Twister mais avec votre cortex en train de crier au secours.
Alors, si vous aimez l’idée de jouer les cobayes intergalactiques, de vous gratter la tête face à des machines un peu trop barrées pour votre cerveau fatigué, et d’avoir ce délicieux mélange de je comprends rien et GG, je viens de péter le code, ce jeu est fait pour vous. Allez, balancez ces clics, appuyez sur tous ces boutons (mais pas tous en même temps, hein), et montrez à ces aliens que l’humanité, c’est quelque chose... même si moi, j’ai failli perdre ma souris à force de rager sur un levier capricieux. Qui aurait cru qu’un test d’intelligence pouvait être aussi addictif ?