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Tallman Run

4.66/5(voix: 47)📅2022 Aug 15
Tallman Run

Ah, le Tallman Run, ce petit bijou du jeu vidéo qui a réussi à me happer comme une boîte de chocolat en promo (vous savez, celle qu'on n’achète pas mais qu'on finit par grignoter en cachette ?). Un jeu hyper casual qui, je dois dire, semble être fait pour les amateurs de sensations... vers le ciel.

Le principe ? Simple comme bonjour ! Tu glisses ton doigt (ou tu dragues, comme dirait la vieille marie) sur l'écran pour déplacer ton personnage vers la gauche et la droite. Et il ne s’agit pas juste d'un coureur lambda, non ! Ici, l’objectif est de devenir un homme à la fois grand et large. C’est comme un petit défi quotidien, mais sans le besoin de pots de yaourt !

Franchement, la première fois que j'ai commencé à jouer, j'ai ressenti un frisson. Les couleurs éclatantes et les animations me faisaient penser à un carnaval. Aïe, mes yeux ! En gros, on se lance dans ce parcours rempli d’obstacles tout en essayant de grappiller des pièces et des bonus pour devenir le plus gros “Tallman” possible. Qui aurait cru qu’un simple geste du doigt pourrait être aussi satisfaisant ?

Les sons ? Parfaitement addictifs. Genre, si un DJ avait décidé de mixer des bruits de chargement et de boom de pièces, ce serait ça. J’étais avec mes potes en vocal et je rigolais comme un fou chaque fois qu’un de nous devenait… comment dire… un peu trop ambitieux en tentant de franchir un obstacle. Des mèmes et des blagues sur “trop de courgettes” sont devenus notre nouveau thème.

Au début, je pensais que ce serait juste un petit jeu fou pour passer le temps. Mais maintenant, je pense que c’est une sorte de thérapie ! Tu commences tout petit et bam, tu deviens une montagne ! Après quelques sessions, j'ai même eu l'impression que mon personnage avait pris plus de taille que moi après les fêtes... C’est dire !

Alors, prêts à grandir ensemble ? À devenir des géants du côté obscur du chiffon de plage ? Je crois que ce jeu pourrait bien devenir votre nouvelle addiction... En mode “juste une partie encore”... jusqu’à ce que la batterie de mon téléphone crie “au secourrrrs !”. Mais bon, qui a besoin de sommeil quand on peut grandir à coups de glissements de doigts ?