Alors voilà, Soldier Run Evolution, c’est un peu comme si Sonic et Call of Duty avaient eu un bébé super musclé qui adore courir et tirer partout. T’es dans la peau d’un soldat (ou plutôt d’une armée de soldats, parce que oui, le truc évolue !), et ta mission, si tu l’acceptes, c’est de foncer à travers des niveaux pleins de portes et pas pour juste admirer la déco, hein. Chaque porte franchie te file des renforts, genre t’agrandis ton équipe comme si tu collectionnais les cartes Pokémon, mais en mieux... parce qu’ils tirent tous en même temps.
Le système de déplacement est un petit bijou d’agilité et de précision ; tu dois non seulement courir, sauter et esquiver comme un ninja sous caféine, mais aussi gérer ton attaque et ton tir sans finir en purée contre le mur. Oui, c’est un vrai défi pour les doigts (et la patience). Sérieusement, la première fois que j’ai essayé de combouter attaque + saut + tir, j’ai failli envoyer ma manette dans un autre plan dimensionnel. Mais une fois que tu prends le rythme, c’est aussi satisfaisant que de finir un niveau sans mourir et ça, c’est du GG.
Mais attends, y’a pas que la baston ! Le côté puzzle se glisse finement dans l’aventure : chaque porte est une énigme de timing et de stratégie, presque comme un Rubik’s Cube version soldat. Tu dois être vif, sinon tu te retrouves avec ta petite troupe en mode “game over” express. Pour couronner le tout, tu peux améliorer tes armes pour débloquer des évolutions de soldats dignes d’un film de science-fiction. Qui aurait cru que devoir upgrader son bazooka pouvait être aussi addictif que checker ses réseaux sociaux ?
En résumé, Soldier Run Evolution, c’est ce petit cocktail explosif qui allie la vitesse d’un runner, la stratégie d’un puzzle-game et la satisfaction d’une évolution ultra stylée. Si t’aimes courir, tirer et voir ta mini-armée prendre du muscle, fonce et prépare tes réflexes, parce que ça ne rigole pas. Moi, j’ai déjà commencé à m’entraîner pour le prochain run... un jour, je maîtrise le combo attaque-tir-saut sans mourir. Un jour.