Ah, les puzzles… ce doux enfermement cérébral où ton cerveau jouxte la frustration et la satisfaction (parfois en mode boss final). Italian Brainrot Jigsaw te balance dans l’arène avec 15 images tirées des memes les plus cultes – parce que oui, rien ne dit je suis un adulte responsable comme assembler un puzzle de Doge ou d’« Italian Brainrot » en moins de deux.
Le gameplay, c’est du classique revisité : tu choisis ton image fétiche, puis tu décides si tu veux la jouer relax’ ou champion olympique du casse-tête en sélectionnant 16, 36, 64 ou un furieux 100 pièces. Oui, 100 petits morceaux, parce que le vrai défi c’est de ne pas péter un câble avant d’arriver à l’image finale. Spoiler alert : le mode 100, c’est un peu comme chercher ta télécommande sous ces foutus coussins du canapé – simple en théorie, chaotique en pratique.
Le cœur du truc, c’est le système de manipulation hyper smooth (voilà un mec qui a testé avec la souris ET le tactile, promis ça tient la route). Tu glisses, tu déplaces, tu assembles, tu crop top tournes tes pièces (bon, là on rigole, ici c’est juste un glisser-déposer basique, pas besoin de faire du Tetris dans l’espace). Résultat ? Une expérience zen mais avec la petite montée d’adré à chaque pièce bien placée – un peu comme quand tu retrouves enfin ton chargeur de téléphone au fond du sac sans tout renverser.
Et puis entre nous, qui ne s’est jamais retrouvé à courir contre le chrono dans ce genre de jeu ? Premier puzzle en mode 100 pièces, c’est “GG” à toi-même si tu arrives à finir sans envoyer ton clavier valser à travers la pièce (je parle d’expérience, sérieux, nerf ce mode). Bref, que tu sois en mode casual avec un café ou en mode speedrun parce que ta mère te presse, Italian Brainrot Jigsaw sert bien le combo détente/compétition friendly.