Alors, tu pensais que garer ta bagnole, c’était un jeu d’enfant ? Attends de mettre les roues dans Funtown Parking et prépare-toi à déchanter (ou à devenir maître du créneau en mode ninja). Ici, oublie les parkings tranquilles où t'as juste à faire un petit coup de volant — là, c’est un vrai parcours d’obstacles, digne d’un casse-tête de l’extrême. Sérieusement, chaque niveau te balance des trajets de plus en plus tordus, comme si le chaos avait décidé de faire un road trip dans ta tête. Ton sens de la précision va se faire challenger comme jamais. Bref, si tu pensais que c’était du gâteau, dis-toi que la crème pâtissière est devenue une zone sinistrée.
Le cœur du gameplay, c’est clairement la maîtrise de ce mécanisme de conduite un tantinet exigeant. Tu bouges ta caisse avec les touches W/A/S/D (ou les flèches, comme les old school), et, attention, aucun coupé automatique : faut gérer le changement de vitesse avec la touche Shift pour avancer ou reculer. Ca paraît simple, mais entre appuyer au bon moment et ne pas finir dans le décor, il y a un monde. La gestion du point de vue caméra via la touche C te met aussi un peu la pression : tu peux basculer entre différents angles, histoire de bien jauger la place et éviter les accrocs – gare aux angles morts, c’est traître comme une pomme piquée.
Entre la cacophonie des notifications sonores et les petites touches pratiques (M pour couper la musique – pour les zen, P pour faire une pause quand tu sens que ça chauffe au volant, et R pour tout remettre à zéro quand tu as fait un carnage digne d’un rallye), Funtown Parking te plonge dans une expérience de dingue. Sérieusement, qui aurait cru que garer une voiture pouvait devenir une épopée épique où ta touche reset sera ta meilleure amie ? Et puis, tu sais ce qui est drôle ? Après 15 minutes à galérer avec le premier parcours, je suis devenu quasiment un as du stationnement… avant de me faire dévorer par le niveau suivant, évidemment. GG la vie !