Alors, vous pensez être le futur sniper d’PARIS à la sauce FRAGEN ? Accrochez-vous, parce que ce jeu ne fait pas dans la dentelle. Ici, la mécanique de tir est aussi affûtée qu’un rasoir, et chaque grenade-gun balancée (oui, avec la touche G, parce que s’emmêler les pinceaux en pleine baston, c’est le drame) vous fait sentir comme un vrai chef d’orchestre de chaos. J’ai essayé de lancer une grenade et... disons que mes coéquipiers ont vécu un feu d’artifice... à leurs dépens.
Ce que j’aime dans FRAGEN, c’est ce petit côté “parkour militaire” qui ne vous laisse pas souffler : le combo course + slide (SHIFT + W + C pour glisser comme un pro sur le parquet d’un musée) permet d’enchaîner les esquives et les attaques surprises. Franchement, c’est plus fun qu’un épisode de Mission: Impossible, et vous voilà en mode ninja-de-la-gunfights en moins de deux secondes. Le squat avec C sert aussi pour les joueurs stratégiques qui préfèrent jouer à cache-cache avec la balle plutôt qu'à la roulette russe.
Ah, et côté arme, entre le switch rapide avec la molette pour passer du fusil au pistolet comme un magicien sort un lapin du chapeau, et la gestion du rechargement (R, parce que vous êtes humain, pas un robocop), c’est un vrai ballet mécanique. Premier match ? J’étais tellement à fond sur la visée (M1) et le tir (M2) que mon clavier a frisé la dépression nerveuse. Sans oublier le jump (SPACE) qui vous sauve la mise quand la balle traître vient par en dessous. Sérieusement, qui a pensé que les maps allaient devenir aussi chaotiques ?
Alors, prêt à chaussure vos baskets virtuelles et à montrer que vous savez manier le WASD comme un pro du clavier ? Armé de vos deux flingues (1 et 2), votre ambition va prendre la poudre d’escampette, ou vous allez juste finir en mode “GG” (Good Game, mais surtout pour les adversaires). FRAGEN, c’est un peu comme chercher la télécommande sous les coussins du canap’ : simple en théorie, explosive dans la pratique. À vos marques, prêt... feu !