Alors voilà, Angry Battle Bird Mania, c’est un peu comme si Angry Birds avait décidé de s’inscrire à un cours intensif de lancer de poids… mais avec des oiseaux. Ici, tu prends ta catapulte, tu charges tes plumes les plus féroces, et tu vises ces maudites structures ennemies avec la précision d’un snipermais en beaucoup plus fun (et sans danger de finir dans un buisson). Sérieusement, réussir à tout démolir avec le moins de tirs possible, c’est ton ticket pour un score digne d’une légende du gaming. Oui, c’est carrément compétitif, et ton doigt va finir par être plus affûté que la langue d’un commentateur sportif.
Le truc super addictif, c’est la physique réaliste du jeu, où chaque lancer réagit comme dans la vraie vie. Les oiseaux ne volent pas en ligne droite comme des flèches magiques, non, ils zigzaguent, rebondissent, et t’en sortiras jamais gagnant si t’ignores l’angle et la puissance. Je me suis surpris à me dire « encore une fois ! », pendant des heures (à tel point que je devrais peut-être consulter pour une tendinite du pouce). Et puis, chaque oiseau apporte son petit superpouvoirgenre un turbo explosive ou une charge destructricequi transforme chaque level en bataille épique un poil plus stratégie que tu peux imaginer.
Les niveaux eux, ils sont taaaellement bien conçus que chaque nouveau camp à démolir te donne l’impression d’être un véritable général des oiseauxsauf que ton armée est constituée d’animaux emplumés et que tes ennemis sont faits de… trucs en bois et pierres. Oh, et aussi : quand tu rates le tir parfait, c’est la tête contre le clavier qui guette. Le premier boss ? Je te laisse deviner combien de fois j’ai failli jeter mon téléphone par la fenêtre avant de comprendre qu’il fallait… comment dire… viser mieux ?
En résumé, si tu as envie de t’éclater avec un combo détonant de catapultage stratégique, d’oiseaux aux pouvoirs OP, et d’action toute en courbes de projectile, Angry Battle Bird Mania est ton prochain crush vidéoludique. Allez, vise bien, plumes au vent, et prépare-toi à une fronde mémorable ! GG, l’oiseau est dans la place.